• Napoléon 1
  • Cheramichniki
  • Comte Rostopchine
  • Rostopchine incendaire ?
    Le 12 juin, les troupes de l'Europe occidentale franchirent les frontières russes et la guerre commença, c'est à dire qu'il se produisit un eévénement contraire à la raison et contraire à toiute la nature humaine. Des millions d'hommes commirent les un envers les autres un nombre incalculable de crimes, de mensonges, de trahisons, de vols, de faux monnayages, de pillages, d'incendies, et d'assassinats, un nombre dépassant de beaucoup celui que comportent les archives de tous les tribunaux du monde pendant un siècles. Et, durant cette période, les gens qui commirent ces forfaits ne les considéraient pas du tout comme des crimes.
    TOLSTOÏ - Guerre et Paix.
    Pourquoi fait-t'il si chaud à Moscou aurait d'abord demandé Napoléon ? La réponse ne tarda pas obligeant la Grande Armée à quitter précipitemment les lieux pour aller s'enfoncer dans la glacière de l'hiver russe.

    Plusieurs thèses s'opposent désormais à propos du soi-disant acte volontaire prémédité par le Comte Rostopchine. Ainsi, certains affirment que l'incendie qui a détruit les trois quarts des habitations de Moscou aurait pris naissance dans les maisons en bois occupées par la soldatesque napoléonienne. Un autre thèse avance l'idée d'un incendie involontaire ayant pris naissance dans

    Ce serait une erreur de croire cette affaire définitivement classée. Les historiens continuent à débattre pour tenter de déterminer l'origine exacte de l'incendie qui réduisit Moscou en cendres lors de l'hiver 1812. La thèse de l'incendie volontaire sur les ordres du Prince Rostopchine (1) parait bien fumeuse et ne recueille pas, loin s'en faut, l'adhésion des historiens.

    Pourquoi fait-t'il si chaud à Moscou aurait d'abord demandé Napoléon ? La réponse ne tarda pas obligeant la Grande Armée à quitter précipitemment les lieux pour aller s'enfoncer dans la glacière de l'hiver russe.

    Plusieurs thèses s'opposent désormais à propos du soi-disant acte volontaire prémédité par le Comte Rostopchine. Ainsi, certains affirment que l'incendie qui a détruit les trois quarts des habitations de Moscou aurait pris naissance dans les maisons en bois occupées par la soldatesque napoléonienne. Un autre thèse avance l'idée d'un incendie involontaire ayant pris naissance dans l'une de ces habitations en bois abandonnées précipitament par ses occupants devant l'invasion étrangère.

    Quelques unes de ces maisons en bois ont cependant échappé aux flammes. Ces maisons sont aujourd'hui encore visibles. Le lecteur voudra bien en retenir les adresses : 5, Sytinski pereoulok; 5, Elokhovski poezd; 15, oulistsa Sadovaïa Koudrinskaïa.

    Des maisons datant début du XVIIIème ayant résisté au passage de Napoléon 1er, on en connait peu en Europe.

    Saint-Pétersbourg 21 Octobre 2004.

    La comtesse de Ségur
    Le comte Rostopchine avait une fille nommée Sophie. Devenue comtesse de Ségur de par son mariage en France, elle vécut au chateau des Nouettes à Aube dans l'Orne. C'est donc dans notre Normandie qu'elle écrivit "Les Malheurs de Sophie".

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Comtesse_de_S%C3%A9gurVoir sur Wikipedia